Chris clark est un tout jeune artiste anglais qui, durant toutes sa proche jeunesse, s-est entraîné, seul, dans son studio qui est encore sa chambre... Durant tout ce temps, il s-est d-abord entraîné à sampler, puis a poursuivi sa quête d-univers inconnu par la recherche de ses propres sons, ceux qui l-étonnent bien entendu... et comme le bonhomme a tout plein d-humour, le voici qui mélange allègrement samples de violons triturés, bruitages inédits façon ténèbres industrielles avec voix d-outre tombe, tout ça sur des rythmes électroniques endiablés exponentiellement accélérés !
Le cheval de frise est une machine de guerre... une longue poutre traversée de plusieurs pointes, que l'on met dans un chemin ou dans un passage pour le boucher et arreter les assaillants par la même occasion. Ce duo guitare ' batterie bordelais revient avec leur nouvel album chez le parisien RUMINANCE, Franck Stopher (et Sonore, leur premier label...) ayant décidé d'aller faire un tour prolongé au japon...
BOXHEAD ENSEMBLE n'est pas né de la dernière pluie... Le projet est à l'initiative de MICKAEL KRASSNER, amoureux des films de BRADEN KING... rappelez vous son ancien disque Dutch arbor: where the sea breaks its back illustrant le film du même nom et qui a défrayé la chronique en 1997 alors qu'on était en pleine effervescence du blues pop fragile de PALACE & will OLDHAM (le bonhomme y participait avec Jim O'Rourke, Ken Vandermark...).
Retour de l’orchestre du gars Niko chez Ambivalence après une virée chez l’allemand Sonig. A mi-chemin entre compilation d’inédits et recueil de remixes. On retrouve ainsi plusieurs compositions des années 2003 et 2004, aussi accidentées que luxuriantes, avec leurs nombreux moments de gaieté, d’ivresse, de folie douce même. Et, chose plus rare, quelques détours plus mélancoliques. Chaque morceau d’Uske déborde d’idée comme de vitalité, et nous rappelle qu’il n’est point toujours besoin de virulence pour faire éclater les carcans et les convenances.
Un nouveau 12' (album ?) pour ces américains de PROVIDENCE les plus débiles qui soient (non ok, je sais , j'en connais des débilus(i) maximus(i) encore plus !). On ne peut d'ailleurs pas s'étonner quant à leur profonde débilité quand on sait que l'ancien bassiste des MELVINS joue dans ce groupe ! (oui, oui, JOE PRESTON !). La des scription de leur musique, c'est une sorte d'alliage de boite à rythmes merdique, de voix toujours en distortion, de guitares 'crouick crouik' et de claviers dignes des meilleurs 'bon'tympan' délirant d'idiotie !
Le kangourou qui gigote, celui qui court plus vite que le cheval, de frise, YOWIE est un trio de St Louis, 2 guitares, une batterie. Ca dissone grave, c'est l'enthousiasme, c'est le juste rendu et la contrepartie de SKIN GRAFT à l'affaire LIGHTNING BOLT sans le gros côté qui tache. Bon, YOWIE est plutôt à rapprocher de CHEVAL DE FRISE ou des RUINS pour la virtuosité rythmique et de V9R9D pour la lourdeur rock et l'odeur Noise. Puissance de jambes. Leur truc a eux, c'est la dissonance, je ne sais quel accordage ils ont mais ca sent le foutraque plein les oreilles.
'don't miss this one !' (Soundohm)
Here it is, naked to the bone, free jazz in all its glory, loose, intense and furious, not in hanger but with "joie de vivre." A sax-drums duo like comprised of Thomas Beaudelin on saxophone and Erwan Cornic on percussion, makes you anticipate an essentialist approach to the communicative powers of improvisation. The music is dense and intense, seeming to drag everything that happens to be in their path with vehement free sounding and shamanic interplay. Don't miss this one (Review by soundohm)
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