Ce trio formé à l’aide d’un ex Frodus joue une pop anglaise. On pense à Simon et Carfunkel ou les Beatles. Pour faire plus actuel on peut parler d’Elliot Smith à l’écoute de ces deux pénibles chansons qu’on oubliera bien vite. Un égarement. http://www.nolookingback.com
Si on se rappelle les derniers concerts donnés par le groupe et du 7’’ sorti il y a peu sur Level Plane Records, on sait que Lack a mué. Ce deuxième album des Danois le confirme. La tension explosive de leur précédent long effort s’est transformé en une certaine retenue musicale qui imprime tout le long de cet opus une colère rentrée qui leur va bien.
Ce groupe comprend des ex-Serene. Voilà la raison de l'achat de ce disque qui est une grosse déception. Dix chansons qui se ressemblent presque toutes. On pense au dernier album de Refused pour le côté émo-rock and roll déjà-vu. On pense aussi aux débuts de Frodus ou aux mieux à 400 years dans ces mauvais jours. La voix est mixé bien trop en avant. Cela fait passé le tout pour une sympathique première démo mais en aucun cas à un bon disque. A l'écoute je ressens un certains - m'as tu vu ! ! -.
Après un premier 7-- aux allures de on se cherche plutôt intéressant, Brazen revient avec un 10-- toujours autoproduit aux allures cette fois-ci de on s-est trouvé et vous allez morfler! . Le son s-est considérablement alourdi. Il pèse carrément son poids. Les accords sont arrachées à des guitares qui broient du noir. Elles savent se faire mélancolique sur quelques passages très émotionnels. Mais comme toujours c-est pour mieux enfoncer le clou dans la seconde qui suit. Les montées en régimes sonores sont précieuses et lâchent une voix saturée pleine de désespoir et de rage mêlée.
J’avais été surpris par le hard core noise de Atomic Fireball sur un split 7’’ avec Frodus il y a quelques années. Ils ont peu laissé de côté Kurt et Shotmaker pour une noise beaucoup plus brutale. Métal, le mot est lâché ! En effet Atomic semble prendre la route de Today is the Day avec lequel il a plusieurs points en commun. La voix distordue, des riffs noise métal avec quelques incursions « death»…Atomic Fireball joue aussi lourd que Zeni Geva, donc on morfle pas mal. Les trois titres présents sur cette galette (dont un live) font la part belle aux émotions les plus torturées.
Après un premier maxi (pas indispensable !) sorti sous le nom de The Black Sea, voici le retour des deux ex-Frodus et du Joe Lally de Fugazi… via un premier album assez attendu par les fans des deux groupes précités. Depuis la sortie de ces onze titres Joe s’est retiré de la formation pour raisons familiales…il a été remplacé depuis... l’aventure continue ! Revenons à ce disque beaucoup plus abouti que le premier essai du combo, pour les intéressés ne vous inquiétez pas, on retrouve une bonne partie du passé musical des gaziers dans la musique de Decahedron…sans aucun doute.
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