ANDREA BELFI : natura morta (Miasmah 2014)
Allez, c'est ma soirée "nature morte". Après ses travaux avec David Grubbs, Machinefabriek ou Ignaz Schick, Belfi nous revient seul. Direct, j'aime le son de batterie, une nappe traîne, c'est noir, c'est vieux, il y a quelque chose de mécanique, c'est tendu, comme une bonne vieille new wave. Je pense à LOSCIL sur Kranky, des nappes mélancoliques assombrissent l'atmosphère, le tempo est lent, puis disparait, ne laissant apparaitre que l'ossature de la musique de Andréa BELFI, des sonorités métalliques glaciales, couvertes de réverbération.