FORDAMAGE est le nouveau groupe d-obédience Noise de Nantes signé chez les copains de KITHYBONG. Après le folk de benjamin HEALTHY BOY et sa « fucking life around him », le label nantais revient à son amour premier, à savoir le rock dans tout ce qu-il a de plus sincère et d-abrasif. Lorgnez vers FUGAZI et JESUS LIZARD, bref pensez une musique qui envoie le boulet et dont la puissance physique n-est plus à démontrer. La recette est connue mais quand on a faim, une bonne bavette bien saignante vaut bien le meilleur de la nouvelle cuisine internationale.
On connait SAM CALLOW depuis des lustres, sans doute bien depuis le début du zine. Couramment, il nous renvoie ses démos de pop lofi munies d-un certain sens de la mélodie et d-une certaine accointance à la destructuration. Adulé un jour par John Peel (cf site web), il arrive récemment en France, fuyant l-anglais et sa couronne libérale pour attérir à REIMS où il a trouvé les gens de PARTICUL SYSTEM très encleins à sa musique. Après quelques 45 tours autoproduits (au moins un en tout cas...), il signe aujourd-hui son premier album solo qui réuni ses meilleurs titres POP LOFI.
PASSE MONTAGNE est le nouveau groupe de Julien de CHEVREUIL (le batteur). Il récupère ainsi son vieux pote d-enfance (le guitariste, synthé, basse...) parti faire un tour pendant quelques années en solitaire dans la Colombie lointaine pendant que JULIEN tournait avec son CHEVREUIL dans le monde entier. Ce PASSE MONTAGNE est un trio, une autre guitare / basse s-y greffe, l-ambiance est assez lourde, plutôt énergique et dynamique, je n-aime pas les sonorités du clavier, heureusement pour moi, il n-y en a pas trop.
J’ai découvert par hasard Akimbo fin 2004 sur la toile, rien de bien miraculeux jusque là. J’avais pas « creusé » et je les avais complètement sorti de ma petite tête avant leur venue en Europe fin 2005. Et me voilà début 2006 et je me retrouve avec leur quatrième album sur les bras sans crier gare (à toi). Pourtant rater pareil groupe ça ne se fait pas ou plutôt ça ne se fait plus en ces temps d’ultra communication (tronquée). Akimbo est dorénavant chez Alternative Tentacles, c’est donc dorénavant inratable !!
Il y a des jours comme ca, il fait beau, alors quand il fait beau, le corbeau est plutôt tristounet mais le coucou va bientôt essayer de chipper quelques oeufs chez le voisin. Intro con. Il fait beau, et les disques du beau sont de sortis, THE TALL SHIPS en fait parti. La Tchéquie vient pondre ses jolies mélodies à base de guitares soft et ses voix doublées toutes douces. Mid Tempo, Mi BUILT TO SPILL, mi PROHIBITION, mi Codéine, mi Chicago, mi Lovitt, mi eux...
Sans nouvelle depuis un petit bout de temps de The Oliver Twist, c’est plutôt une bonne surprise de se retrouver à écouter un nouvel album. En effet depuis la mise en route de Von Spar, groupe électro post punk du chanteur, et sa signature sur LADO (The Robocop Kraus, The Gossip), la dispersion prolongée des zicos aux quatre coins de l’Allemagne, je n’aurai pas été étonné de ne pas voir de suite à leur troisième opus « new tricks and traps » sorti en 2003.
Dans l’amas des formations nord américaines développant une musique coléreuse et mélancolique à la fois, Burns Out Bright a de quoi se faire remarquer avec ce premier opus qui précise sacrément son sujet après un EP inégal. En effet les petits gars de Columbia ne sombre pas dans la niaiserie qui colle si facilement à cette musique.
Formé en 2002, en provenance de Mont de Marsan, Swad a jusqu’à ce premier album été plutôt discret (quelques démos et participation à des compilations). Le groupe a pris le temps de se découvrir diront certains et ils n’auront pas entièrement tort ! Swad propose neufs chansons variées, travaillées à l’aide d’un songwritting efficace qui risque d’en surprendre plus d’un si on est un temps soit peu amateur du post hardcore mélodique de Stanford Experiment Prison, du punk rock noisy de Kepone.
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