Dischord se réveille. Avec Q and not U voici une autre belle surprise en direct live de Washington DC. Faraquet ne sont pas vraiment des inconnus (ex Smart went crazy). Ils ont déjà sortis quelques enregistrements un peu partout. L-album s-ouvre sur une guitare au riff qui sonne bien Chicago noise (Shellac, Lustre King, Don Cab ?). Un break et on se retrouve dans un plan plus Kérosène 454 que Kérosène 454. Et le reste du disque est à l-avenant. Surprenant et très varié de par les atmosphères proposées.
Pas la peine d’y aller par quatre chemins cet album d’Eulcid est une chouette découverte. Tout d’abord la voix est très bonne. Elle peut faire penser à celle de the VSS en moins new wave mais très émotionelle…Les guitares se situent entre des déluges sonores légèrements chaotiques, dissonants, entrecoupés de passages éclairés en arpèges. L’ensemble reste bien « émo noise très personnel ». La musique d’Eulcid navigue entre des ambiances que n’auraient pas renié un groupe comme Milemarker sans le côté new wave (encore ?).
Toujours adepte du format chant guitare basse batterie, le quatuor us nous revient avec leur nouvelle production sortie au début de l'été 2000.Beaucoup plus abouti que leur précédent disque, l'accent est aujourd'hui mis sur la mélodie délaissant beuglerie et titre sans âme du premier album (ça c'est méchant alors !) : Le chanteur explose littéralement et porte véritablement ce groupe aux allures émo pop classique vers des sommets qui risquent fort de revitaliser ce style de musique...(et c'est beaucoup dire) habituée généralement à des mélodies niaises ou pompeuse (
Plutôt sympathique dans le registre -Emocore meets Pop-, ce trio d-el paso, ville de plus en plus connue pour avoir pondu les désormais fameux, encensés et adulés AT THE DRIVE IN (dont EGON a bien évidemment déjà fait la première partie !). 4 ans d-existence, deuxième album, entre pop joyeusement tristounette, énergiquement dansante, soigneusement mélancolique et d-une fraîcheur qui vous évitera, à coup sûr, de prendre votre douche avant de dormir !
DRUMHEAD is a band performed essentially by drummers.This record has been recorded live and let you swim in strange oceans.Calm for certains where you could take your breath again and more wild for others with their cold electronic experiences.Sometimes ,you reach hot island and their -black- percussions' sounds but the general ambience stay on the mid Temperature,with the time to appreciate accuracy of the rythms.A record witch take you far from here. Instrumentations:drums,congas,machines,marimba,xylophone,piano and a great TALENT.
Ce DON CABALLERO ci n'est plus celui du DON CAB énergique et vivifiant qu'on a pu connaitre avec leurs précédents albums ! Seules, la guitare et la batterie ont survécues à l'épopée équestre du CABALLERO... l'un des deux guitaristes du précédent disque est dorénavant absent de celui ci... plus hippique que épique mais qui pique néanmoins (et encore... ça sera mon seul mot gentil tellement je suis deçu par le manque de prises de risques dans ce disque !).
NOHC : Azote(N), Oxygene(O), Hydrogene(H) et carbone(C) : les quatres principaux éléments essentiels au développement de toute vie terrestre. LAZRO, COLIN, NICK et didier PETIT (instigateur du projet) créent leur nouveau monde dans l'improvisation : le big band initial, l'expansion de l'univers, ses zones de calmes et de fracas ,tout y passe ou presque pour la définition du nouvel eldorado; le violoncelle glisse, frise, crisse puis souffle et ralentit quand retentit la voix du dit PETIT...
A l-occasion de la sortie prochaine de l-entière discographie de ce groupe de Breme (ACME, Morser, Systral), petit retour sur le 10-- sorti assez tardivement sur le label culte du hardcore métal chaos germanique; Per Koro bien sûr.Dead Beat joue une musique très lourde, métal, avec un soupçon de noise malsaine. Les morceaux sont construits autour de riffs répétitifs qui tournent sans cesse un peu à la Neurosis. Le sentiment de désespoir semble être la seule source d-inspiration de ce groupe. La voix est dégueulée, criée à la mort. Les mélodies sont pas joyeuses, joyeuses.
Chris clark est un tout jeune artiste anglais qui, durant toutes sa proche jeunesse, s-est entraîné, seul, dans son studio qui est encore sa chambre... Durant tout ce temps, il s-est d-abord entraîné à sampler, puis a poursuivi sa quête d-univers inconnu par la recherche de ses propres sons, ceux qui l-étonnent bien entendu... et comme le bonhomme a tout plein d-humour, le voici qui mélange allègrement samples de violons triturés, bruitages inédits façon ténèbres industrielles avec voix d-outre tombe, tout ça sur des rythmes électroniques endiablés exponentiellement accélérés !
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