PROSPERR Black Museum cd A Tant Rêver Du Roi 2006

PAU bouge, qu-on se le dise, la semaine dernière j-ai vu les 2 jeunettes de BEESSIES FOREVER au SPOUTNICK (expatriée depuis à BORDEAUX / garage frais et rigolo, une belle première pour le meilleur bar nantais...) et ce n-est pas PROSPERR qui va me démentir... Ce trio cherche l-ambiance post/math rock, bref de l-instru à base de guitare/basse/batterie. C-est du tout bon, dans la veine SICKROOM RECORDS et s-il faut parler références, penser HONEY FOR PETZI lorsqu-ils cherchaient le rock, UNWOUND dépoussiéré de l-abrasif, SLINT munie d-une selle pas scellée. Bref, -voyez le genre.

CHEVEU clara venus 7- SDZ records / royal records 2006

CHEVEU se peigne en pétard, sorte de garage en forme de machine à rythmes binaires endiablés. electrospasm punk qu-on dit quand on est dans le BIZ-. Parole en francais pour une face, c-est bien. Vieux casio, une boite à effets et une guitare, les trois parisiens (ex-bordelais) se cherchent dans un registre garage rock psyché un tantinet électro Une guitare abrasive, un chant, coproduction entre les deux parisiens SDZ et Royal Records, ca danse dans la baffle, ca pulse au salon..

GASOLINE DC / NUIT NOIRE CHAPON FARCI 1er Novembre 2006 L’Entrepôt / Toulouse

Il fallait bien que je m’attaque un jour à ma première chronique de concert… Et il se trouve que celui-ci est plus que jamais la bonne occasion. Concert atypique… trois duos la même soirée, dans des styles très différents… C’est à Gasoline DC qu’a échu l’ouverture du concert. Dans une salle malheureusement bien peu remplie. Rien à redire sur leur prestation : dans la lignée de Cheval de frise, mais en moins jazzy (en moins mouvant, plus rock au niveau rythmique), en moins audacieux. Une ouverture agréable… Suit Nuit Noire Nuit Noire… Ca ne vous dit rien ?

PART CHIMP JEL / CHARLOTTEFIELD samedi 28 octobre 2006, 10 euros MJC Bouvardière, Saint Herblain

Si j’ai véritablement mis les doigts dans la prise de Part Chimp lors de la sortie de leur saisissant deuxième album “I’m come” courant 2005, j’ai rapidement penser que c’est en concert que l’essentiel risquait de se passer. Le quatuor devenu trio (deux guitares, batterie) va en faire la démonstration ce soir en terre nantaise. Si j’avais bien senti sur disque que lors des envolées distordues des morceaux les plus vénères des écossais ils pouvaient envoyer du gros son lourd j’étais loin d’imaginer qu’en concert c’était l’essentiel du combat sonique.