Jean Marc MONTERA 'Derek BAILEY' (Lenka Lente 2019)
J'ai découvert Derek Bailey avec son (premier) split avec les RUINS chez Tzadik le label de John Zorn dans les années 90. C'était pour moi, et pour certains potes, une porte vers un trou noir, un machin attirant qui absorbait tout, répondant autant aux critères de la mises en danger qu'aux critères de musicalité décalée possiblement bien iconoclaste. On a su plus tard que ca s'appelait l'improvisation libre. C'est ce genre de disque qui te fait cogiter et qui, si tu pratiques un instrument, te donne des idées.