Le dernier album des FLYING en date, sorti en 2006 et tiré à 300 exemplaires. Putain le vieux bordel. T-imagines même pas comment j-ai réussi à le récupérer. Bref, ceci a sonné le glas d-une période des FLYING, ED RODRIGUEZ ayant été obligé d-abandonner la course pour cause de « plus de thunes » et d-endettement... C-est pas le tout de jouer de la musique, il faut vivre à côté... ah ah. J-espère qu-il reviendra sur sa décision, car je trouve que cette mouture des FLYING LUTENBACHERS est la meilleure jamais entendue.

Ces allemands de Wurtzbourg ont sorti une démo en 2005 qui a plutôt marqué les aficionados de rock instrumental à tendance heavy et épique. En 2007 Omega Massif sort son premier album qui m’a fait un joli effet. Très contemporain, on pourra situer grossièrement ce quatuor entre les débuts d’Isis (Celestial, inclus) et un Pelican qui aurait pondu un opus entre ses deux premiers albums (??). Pas convaincu ? Moi non plus ! Au-delà de ces deux évidences musicales.

Depuis la fin Bluetip et son départ de Washington DC (et de Dischord Records) pour New York City, Jason Farrel est entré dans une sorte d’anonymat malgré la mise en route rapide de ce power trio avec l’ex batteur de Garden Variety. Après un album sorti courant 2004 passé presque inaperçu, Retisonic qui a enrôlé un certain Jim Kimball à la basse revient avec ces six titres. On retrouve « novacane » version acoustique du titre « absolutely you » tiré de l’album précédent. On a droit aussi à une seconde ballade acoustique via « sweet mess » plutôt bien gaulée.

Ce premier album des suédois de Kongh retentit comme un coup de tonnerre dans le paysage sonore sludge doom des années 2000. Non pas que Kongh réinvente un style ou un genre à lui tout seul. Cela serait trop facile. Trop simplificateur et sûrement faux. Mais disons que ces cinq titres (pour plus d’une heure de zik !) font plus que du bien à une musique qui me touche qu’une fois sur cinq. Le fait de savoir que le trio possède un background qui vient autant du blues que du grindcore joue t il sur ma perception de cet album ???

Ce quatuor en provenance de Bologne, a intégré à son post rock académique un violoncelle. Il apparaît sur ces huit titres sous la forme d’arrangements, ou plutôt appuie des atmosphères un tantinet éthéré, voir accompagne la mélodie lorsque le rythme devient un chouia plus soutenu. Je regrette que l’instrument ne soit pas plus présent sur ce premier album car les quelques notes entendues enrichissent une musique bien balisée….et pour cause !!!

Alors qu’un premier opus de l’armée des robots volants sort ces jours-ci, il est grand temps de revenir par l’intermédiaire de ce cd discographique sur les premiers efforts de ces petits gars de Nottingham qui en veulent. Army Of Flying Robots joue un hardcore violent et irrévérencieux qui doit autant au trash, au power violence, qu’au grind core… si je veux faire aussi court que les morceaux souvent joués en moins d’une minute par ce quintet qui ne fait pas dans le détail quand il s’agit d’envoyer de gros dans la gueule !